Le rapport annuel de 2024 de l’ACORP vient d’être publié. Nous sommes fiers de partager nos réalisations de 2024 et espérons en célébrer bien d’autres en 2025.
Comme l’a souligné Bob Haennel, PDG de l’ACORP, de nombreuses étapes importantes ont été franchies :
Je suis fier de ce que notre petite mais formidable équipe a accompli. L’année dernière, afin d’accélérer le processus d’examen et le passage à la pratique, l’ACORP a doublé le nombre d’épreuves de l’examen de compétence en physiothérapie (ECP), qui est passé de 5 à 10. Nous avons également simplifié tous les processus d’évaluation des titres de compétence, approuvé l’utilisation des documents numériques et supprimé les exigences en matière de notarisation, ce qui a permis de réduire de 10 semaines les délais d’évaluation des titres de compétence des physiothérapeutes formés à l’étranger (PFE).
Nous avons mis en place avec succès une nouvelle voie préapprouvée d’évaluation des titres de compétence en vue de l’ECP. Cette nouvelle voie d’accès simplifie la présentation des demandes provenant de certains territoires et permet de confirmer plus rapidement l’admissibilité des PFE à l’examen donnant accès à la pratique, de manière à ce que l’ACORP puisse consacrer plus de temps et de ressources aux demandes qui nécessitent une évaluation individualisée.
Plus récemment, les organismes de réglementation territoriaux et provinciaux canadiens1 ont approuvé, sur le principe, l’adoption du nouvel examen d’accès à la profession de l’ACORP, l’examen de physiothérapie canadien (EPC), dont le lancement est prévu en 2026. En adoptant une norme unique, nous pourrons faire en sorte que les connaissances essentielles soient évaluées de manière cohérente, et disposer ainsi d’exigences professionnelles harmonisées.
- À l’exception du Québec, qui dispose de son propre système. ↩︎